Les élus du SNUipp/FSU 42 sont intervenus mardi pour soulever cette question qui remonte de nombreuses écoles :
Est on obligé de la faire ? Que faire quand cela bloque les répartitions ? Que faire lorsque cela remet en cause l’accueil des TPS en REP ou REP+ alors que les élèves sont déjà inscrits ? Que faire lorsque cela impacte trop fortement à la hausse les classes de maternelle ou de cycle 3 ?
Nous avons demandé en groupe de travail qu’il puisse y avoir une latitude pour discuter avec l’IEN, analyser toutes les répartitions possibles, et après réflexion, l’équipe d’école doit pouvoir se positionner sur la meilleure répartition possible.
Il nous a été répondu que les IEN seraient à l’écoute.
Nous conseillons donc aux équipes de faire leurs répartitions comme d’habitude. S’il y a invalidation, de fournir des comparatifs et d’argumenter pourquoi telle ou telle n’est pas choisie par l’équipe. Ce sont les acteurs de terrain qui savent le mieux quelle répartition permettra aux élèves et à leurs enseignants d’être dans les conditions les moins mauvaises pour apprendre.
Sur le papier, 12 en GS en Éducation prioritaire, pas plus de 24, c’est très bien. Mais c’est très bien dans toutes les classes et surement pas à moyens constants !