Pour la mise à jour des PPMS, les écoles bénéficient d’un délai de 30 jours ouvrés. Le SNUipp-FSU a rappelé qu’il n’était pas question de faire travailler les directeurs et les équipes dans l’urgence. L’enjeu n’est pas de remplir de manière formelle les fiches du PPMS, mais bien de permettre aux équipes de savoir comment agir concrètement en cas d’incident et de risques en tout genre. Cela implique des temps d’échange avec les communes et collectivités, avec les assistants et conseillers de prévention qui doivent venir en soutien des directeurs, mais aussi avec les parents d’élèves.
Le ministère s’est engagé à faire un rappel aux DASEN et à demander que les écoles soient épaulées dans la rédaction et la mise en œuvre concrète du PPMS.